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Il y a un schéma d'" superbum d'Enigmophyton " en études d'Andrews dans Paleobotany (par Henry N Andrews, John Wiley et fils 1961, 487 pp, Fig.2-11., p. 55) appelé " un fossile problématique du dévonien de Spitsbergen. " Le schéma (de Hoeg, de 1942) montre les feuilles en forme d'hélice qui semblent infiniment comme Ginkgo. Le texte note qu'on " pense que cela atteindrait une taille de 1 mètre ou de plus; les tiges lisses étaient de 5 millimètres de diamètre et alèsent les branchements transversaux environ 1 à 2 millimètres d'épaisseur. La feuille a développé à partir d'une base étroite en structure en forme d'hélice partiellement disséquée environ 16 centimètres long et 12 centimètres de large. Bien que le tissu boisé n'ait pas été observé dans les tiges les impressions des lignes régulièrement espacées, qui indiquent apparemment des veines dans les feuilles, permettez à peu le doute que c'était une usine vasculaire. " Il continue pour décrire lycopod-comme les fructifications qui sont trouvées avec lui. Les lignes sur les feuilles dans le schéma bifurquent, mais ne forment pas le veination en filet. Je ne pense pas que n'importe qui réclamerait que c'est un angiosperme; mais il est très intéressant de trouver une telle usine reste dans les strates considérées dévonien. Ce ne serait pas un tel " enigma " si on le trouvait dans les strates mésozoïques. Là il pourrait considérer parmi " les gymnospermes problématiques ". Je ne l'ai pas trouvé mentionné en textes paleobotany plus récents. There is a drawing of "Enigmophyton superbum" in Andrews' Studies in Paleobotany (by Henry N Andrews, John Wiley & Sons 1961, 487 pp., Fig.2-11., p. 55) called "a problematical fossil from the Devonian of Spitsbergen." The drawing (from Hoeg, 1942) shows fan-shaped leaves that look very much like Ginkgo. The text notes that it "is thought to have attained a height of 1 meter or more; the smooth stems were 5 mm in diameter and bore lateral branches about 1 to 2 mm thick. The leaf developed from a narrow base into a partially dissected fan-shaped structure some 16 cm long and 12 cm broad. Although woody tissue has not been observed in the stems the impressions of regularly spaced lines, which apparently indicate veins in the leaves, allow little doubt that it was a vascular plant." It goes on to describe lycopod-like fructifications that are found with it. The lines on the leaves in the drawing bifurcate, but do not form netted veination. I don't think anyone would claim that it is an angiosperm; but it is very interesting to find such plant remains in strata considered to be Devonian. It would not be such an "enigma" if it were found in Mesozoic strata. There it might be considered among the "problematic gymnosperms". I haven't found it mentioned in more recent paleobotany texts.

Naturellement il y avait les feuilles filet-veinées sur les usines non-angiospermous, le plus notamment le pteridosperm Glossopteris, abondants en (et un certain triassique) dépôts permiens de l'Australie, de l'Afrique du Sud, de l'Amérique du Sud, de l'Antarctique, et de l'Inde (la flore de Gondwana). H.P.Banks à l'" évolution et aux usines du passé " (1970, 170 pp de Wadsworth.) ne mentionne pas des glossopterids, mais les réclame, (p.148) " longtemps avant les premiers angiospermes sont apparues les la plupart de l'anatomique et les dispositifs morphologiques qu'ils possèdent avaient déjà évolué! " bien qu'il ne décrive pas ces derniers, et " seulement quand toutes les diverses caractéristiques ont été finalement assemblées dans une organization nous ont eu le premier angiosperme. " bien qu'il ne nous dise pas qu'un tel transfert transport-divisionnaire des characterists pourrait se produire. J'ai vu d'autres papiers sur des origines d'angiosperme réclamant un certain genre " de gènes sautants ". Chacune des théories évolutionnaires d'origines d'angiosperme évoque plus de questions que des réponses. Il est intéressant que N.F.Hughes " Palaeobiology intitulé par livre d'origines d'angiosperme " (presse 1976 d'université de Cambridge) ait été retitled " l'enigma d'origines d'angiosperme " en 1994. N.F.Hughes était un qui a insisté sur le fait qu'il n'y avait aucun angiosperme de pre-Cretaceous Of course there were net-veined leaves on non-angiospermous plants, most notably the pteridosperm Glossopteris, abundant in Permian (and some Triassic) sediments of Australia, South Africa, South America, Antarctica, and India (the Gondwana Flora). H.P.Banks in "Evolution and Plants of the Past" (Wadsworth, 1970, 170 pp.) doesn't mention glossopterids, but does claim, (p.148) "Long before the first angiosperms appeared most of the anatomical and morphological features which they possess had already evolved!" although he does not describe these, and "Only when all the various characteristics were finally assembled into one organism did we have the first angiosperm." although he doesn't tell us how such trans-divisional migration of characterists could occur. I have seen other papers on angiosperm origins claiming some kind of "jumping genes". Each of the evolutionary theories of angiosperm origins brings up more questions than answers. It is interesting that N.F.Hughes book titled "Palaeobiology of Angiosperm Origins" (Cambridge University Press 1976) was retitled "The enigma of angiosperm origins" in 1994. N.F.Hughes was one who insisted that there were no pre-Cretaceous angiosperms.

Je pense des expositions de paleobiology de plus en plus clair que les angiospermes apparaissent en dépôts crétacés sans nous montrer leur ascendance! I think paleobiology shows more and more clearly that the angiosperms appear in Cretaceous sediments without showing us their ancestry!

______________________________________________________ Ó 2010 Arthur V. Chadwick, Ph.D.